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Les synthèses de Robert

Synthèse de Belles Citations (IV)

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9°) Victor Hugo

- Le but de l'art est presque divin : ressusciter, s'il fait de l'histoire ; créer s'il fait de la poésie (Cromwell) ;

- Rêver, c'est le bonheur ; attendre, c'est la vie (Les Feuilles d'Automne) ;

- Quand la bouche dit oui, le regard dit peut-être (Ruy Blas) ;

- Oui, la civilisation tout entière est la patrie du poète (Les Burgraves) ;

- L'histoire a pour égoutdes temps comme les nôtres (Les Châtiments) ;

- Tout homme est livre où Dieu lui-même écrit (Les Contemplations) ;

- Les mots sont les passants mystérieux de l'âme car le mot, c'est le verbe et le verbe, c'est Dieu (Les Contemplations) ;

- L'homme est une prison où l'âme reste libre (Les Contemplations) ;

- Ayez pitié,voyez des âmes dans les choses (Les Contemplations) ;

- On jugerait bien plus sûrement un homme d'après ce qu'il rêve que d'après ce qu'il pense (Les Contemplations) ;

- Nous sommes tous deux voisins du ciel, Madame, puisque vous êtes belle et puisque je suis vieux (Les Contemplations).

 

10°) Alexis de TOCQUEVILLE

- Il n'y a au monde que le patriotisme ou la religion qui puisse faire marcher pendant longtemps vers un même but l'universalité des citoyens (De la Démocratie en Amérique) ;

- Le plus redoutable de tous les mauxqui menacent l'avenir des Etats-Unis naît de la présence des noirs sur leur sol (De la Démocratie en Amérique).

 

11°) Emile de GIRARDIN

- Gouverner, c'est prévoir (Les 52).

 

12°) Alphonse KARR

- Si l'on vut abolir la peinede mort, en ce cas, que Messieurs les Assassins commeencent (Les Guêpes) ;

- Plus ça change, plus c'est la même chose (1849).

 

13°) Napoléon III

- Il est temps que les bons se rassurent et que les méchants tremblent (Proclamation au Peuple Français le 13 juin 1849).

 

14°) Gérard de NERVAL

- Notre passé et notre avenir sont solidaires. Nous vivons dans notre race et notre race vit en nous (Aurélia) ;

- Mon Dieu ! Notre pauvre lune de miel n'a guère eu qu'un premier quartier... (Lettres à Jenny Colon).

 

15°) Xavier FORNERET

- Le cercueil est le salon des morts, ils y recoivent des vers (Sans Titre par un Homme Noir Blanc de Visage) ;

- Un parapluie ouvert est un beau ciel fermé (Brousailles de la Pensée de la Famille de Sans Titre) ;

- La nuit passe à l'ordre... du jour (Brousailles de la Pensée de la Famille de Sans Titre) ;

- La tombe est une boîte où l'on en place une autre (Lignes Rimées. La Tombe).

 

16°) Alfred de MUSSET

- Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? (La Coupe et les Lèvres) ;

- La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve et vous aurez vécu si vous avez aimé (A quoi rêvent les Jeunes Filles ?) ;

- Le masque est si charmant que j'ai peur du visage ( Poésies Nouvelles) ;

- La perfection n'est pas plus faite pour nous que l'immensité (La Confession d'un Enfant du Siècle).

 

17°) Louis BLANC

- Le Rédempteur est venu mais la Rédemption, quand viendra-t-elle ? (Organisation du Travail) ;

- Ce qui effraie le plus dans les partis, ce n'est pas ce qu'ils disent, c'est ce qu'ils négligent ou refusent de dire (Organisation du Travail) ;

- Lorsque, dans une société, la force organisée n'est nulle part, le despotisme est partout (Organisation du Travail).

 

18°) Théophile GAUTHIER

- Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c'est toujours l'expression de quelques besoins et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants, tout comme l'est sa pauvre et infirme nature (Mademoiselle de Maupin) ;

- Naître, c'est seulement commencer à mourir (España, l'Horloge) ;

- L'Egypte, en ce monde où tout change, trône sur l'immobilité (Emaux et Camées, Nostalgies d'Obélisques) ;

- Est-ce que Matamore est malade ? Il n'est pas malade, il est guéri à tout jamais d'une maladie pour laquelle aucun médecin, fût-ce Hippocrate, Galin ou Avicenne, n'ont jamais trouvé de remède, je veux dire la vie, dont on finit toujours par mourir (Le Capitaine Fracasse) ;

- Le génie est vraiment divin ; il invente l'Idéal, il entrevoit la beauté supérieure et l'éternelle lumière. Où ne monte-t-il pas lorsqu'il a pour ailes la foi et l'amour ? (Spirite).

 

19°) Alphonse ESQUIROS

- Le pauvre est le seul qui soit forcé d'avoir de l'argent (Les Vierges Martyres de la Condition de la Femme dans notre Société).

 

20°) François PONSARD

- Tout conseil est mauvais quand il est imposé (Agnès de Méranie) ;

- L'argent, mon cher, l'argent est la seule puissance (L'Honneur et l'Argent) ;

- Heureux, tu compteras des amitiés sans nombre, mais adieu les amis si le temps devient sombre (L'Honneur et l'Argent).

 

21°) Eugène LABICHE

- ILes hommes ne s'attachent point à nous en raison des services que nous leur rendons mais en raison de ceux qu'ils nous rendent (Embrassons-Nous, Folleville).

 

22°) Martin NADAUD

- Quand le bâtiment va, tout va (Formule prononcée à l'Assemblée Législative en 1849).

 

23°) Joséphin SOULARY

- Tout bonheur que la main n'atteint pas n'est qu'un rêve (Pastels et Mignardises).

 

24°) Joseph Arthur de GOBINEAU

- Toute agglomération humaine, même protégée par la complication la plus ingénieuse de liens sociaux contracte, le jour même où elle se forme, le principe d'une mort inévitable (Essai sur l'Inégalité des Races Humaines) ;

- L'humanité éprouve, dans toutes les branches, une répulsion secrète pour les croisements (Essai sur l'Inégalité des Races Humaines) ;

- La hiérarchie des langues correspond rigoureusement à la hiérarchie des races (Essai sur l'Inégalité des Races Humaines).

 

25°) Paul FÉVAL

- Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi (Le Bossu).

 

26°) Michel CARRÉ et Jules BARBIER

- Ah ! Qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de nous (Galathée) ;

- Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir ! Est-ce toi Marguerite ? (Galathée).

 

27°) Gustave FLAUBERT

- Il tournait dans son désir comme un prisonnier dans son cachot (L’Education Sentimentale).

 

28°) Edmond et Jules de GONCOURT

- Dans l’histoire du monde, c’est encore l’absurde qui a le plus de martyrs (Journal) ;

- La statistique est la première des sciences inexactes (Journal) ;

- Un livre n’est jamais un chef-d’œuvre, il le devient (Journal) ;

- Trop suffit quelquefois à la femme (Journal) ;

- Qu’.est-ce que la vie ? L’usufruit d’une agrégation de molécules (Idées et Sensations) ;

- L’histoire est un roman qui a été ; le roman est une histoire qui aurait pu être (Idées et Sensations).

 

29°) Théodore de BANVILLE

- Nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés (Les Cariatides) ;

- Et ceux qui ne font rien ne se trompent jamais (Odes Funambulesques).

 

30°) Ernest RENAN

- La colonisation en grand est une nécessité politique tout à fait de premier ordre. Une nation qui ne colonise pas est irrévocablement vouée au socialisme, à la guerre du riche et du pauvre. La conquête d’un pays de race inférieure par une race supérieur, qui s’y établit pour le gouverner, n’a rien de choquant (La Réforme Intellectuelle et Morale de la France) ;

- Le moyen de ne pas varier est de ne pas penser (L’Avenir de la Science).

 

31°) Alexandre DUMAS Fils

- N’estime l’argent ni plus ni moins qu’il ne vaut : c’est un bon serviteur et un mauvais maître (La Dame aux Camélias).

 

32°) Hippolyte TAINE

- On s’étudie trois semaines, on s’aime trois mois, on se dispute trois ans, on se tolère trente ans et les enfants recommencent (Vie et Opinion de Frédéric-Thomas Graindorge).

 

33°) Jules VERNE

- L’unique préoccupation de cette société savante fut la destruction de l’humanité dans un but philanthropique et le perfectionnement des armes de guerre considérées comme instruments de civilisation (De la Terre à la Lune).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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